Les trois délégués à l’accès aux soins (Le Dr Sophie Augros, médecin généraliste, Thomas Mesnier, député LREM de Charente et médecin urgentiste, et Élisabeth Doineau, sénatrice de Mayenne et vice-présidente de la commission des affaires sociales du Sénat), avaient pour responsabilité de « porter le plan d’accès aux soins auprès des acteurs de terrain et de relayer les bonnes pratiques du comité national de suivi des actions locales« . 

5 chantiers de construction ont été mis en avant : 

  • Le développement des stages ambulatoires et l’accompagnement à l’installation
  • La télémédecine
  • La mise en place d’une offre de formation initiale et continue pour les coordonnateurs en soins primaires par le biais d’une convention collective 
  • La mise en place des outils et incitations financières au suivi collectif de la patientèle d’une structure ou d’un territoire. 
  • La valorisation de la responsabilité territoriale des établissements de santé, (prise en compte des projets visant à renforcer l’accès aux soins : centres médicaux décentrés, consultations avancées ou itinérantes, télémédecine…)

Le rapport  décrit la révolution numérique en santé comme l’un des leviers phares de l’accès aux soins, notamment sur les projets en télémédecine en s’appuyant sur les CPTS.